Participer à un Congrès du MCC est pour François une grande joie : « j’aime rencontrer les différents membres du mouvement, débattre sur des thématiques d’actualité ; cela me permet d’intégrer la dimension du mouvement et de repartir plein d’enthousiasme ». Accepter la mission de la préparation du Congrès est une grande aventure pour lui, compte tenu de la charge de travail que cela représente. Son objectif ? Proposer un Congrès attractif pour donner à chacun l’envie de venir pour débattre et se ressourcer.


Répondant à la demande de Patricia et de Tristan Lormeau au printemps dernier, il intègre la commission de pilotage du Congrès dont la mission est d’animer et de coordonner le travail de l’ensemble des équipes de préparation, ainsi que de valider les orientations et choisir parmi les différentes options identifiées. Il suit plus spécifiquement les commissions Thème et Communication. Très investi dans la préparation du Congrès, il veille à prendre en compte les expressions multiples tout en respectant les choix de l’instance nationale. Sa motivation est d’autant plus forte que le thème du Congrès l’inspire : c’est un sujet en phase avec le contexte actuel et les problématiques professionnelles des membres du MCC.

Lorsqu’on lui demande ce qui l’anime, il répond : « le MCC est un lieu de partage unique sur nos vies professionnelles. Au sein de l’équipe on peut s’exprimer librement, nos paroles sont accueillies avec bienveillance et intérêt, sans jugement et en toute confidentialité ». Il est d’ailleurs en équipe avec sa femme depuis 1990. À la recherche d’un lieu pour échanger, ouvert et en lien avec leur vie professionnelle, ils rejoignent alors une équipe de jeunes professionnels (JP) baptisée « Esperanto » à la suite d’un week-end accueil JP.

Dans la vie professionnelle, François est responsable de l’activité commerciale Consulting de la filiale française d’un éditeur de logiciel européen, spécialisé dans la mise en place de Digital business platform dans les systèmes d’informations des entreprises. Originaire de Haute-Savoie, marié depuis 26 ans et père de 3 enfants, il s’est installé à Paris en début de carrière.

Maylis Rech