Comment vivons-nous
la gouvernance mondiale ?


La notion de gouvernance nous apparaît souvent lointaine, voire abstraite, et pourtant elle a de plus en plus
d’impacts sur notre vie quotidienne. Les décisions prises au niveau strictement national se raréfient et tout
nouvel enjeu du monde amène rapidement la demande de création d’une agence mondiale, comme ce fut le cas
pour l’environnement encore tout récemment.

 1er temps

Échange sur
la gouvernance (on peut choisir
2 ou 3 questions parmi celles-ci)


— Comment reçois-je
les décisions prises
par des institutions mondiales
et en quoi influencent-elles
ma vie, en particulier
dans mon entre p r i s e ?

— Suis-je favorable à plus
de gouvernance mondiale
ou au contraire souhaiterais-je
que ces décisions viennent
d’institutions plus proches
comme les régions (comme
ce fut le cas pour le travail
dominical) ?

— Les décisions prises par ces autorités
correspondent-elles en général
aux valeurs auxquelles je crois ?

— Les projets et mises en oeuvre des
institutions mondiales m’envoient-ils
des messages d’espérance ?

— Ai-je parfois l’occasion d’en parler
autour de moi sur mon lieu
de travail sans tomber
ni dans la polémique ni
dans le piège des banalités ?

— Cette nouvelle organisation
des nations est-elle réaliste ?

— L’organisation mondiale de l’Église
avec le Vatican peut-elle servir
de modèle pour d’autre s
institutions ? En quoi ? Pour quoi ?

 2ème temps

Méditation texte
extrait de l’encyclique de Benoit XVI
Caritas In Veritate

 3ème temps

Mon engagement

— Quelles richesses immédiates
puis-je trouver dans ce texte face
aux questions que le monde
doit régler dans de brefs délais ?

— Comment à mon niveau puis-je
contribuer à la construction
de projets décidés à de tels niveaux ?

— Suis-je déjà aujourd’hui « messager »
de décisions importantes prises
par la gouvernance dans lesquelles
je crois, et qui ont des conséquences
sur mon travail quotidien ?

— Ai-je intégré des « petites » choses
dans ma vie qui m’amènent à être
artisan à mon niveau ? Par exemple
lors de déplacements professionnels,
suis-je ambassadeur de nouveaux
comportements écologiques ?

Antoine de M.