L’Église n’est pas parfaite. Elle traverse des crises, elle fait parfois mal, elle dérange ou déçoit. Et pourtant, elle reste ce lieu où la foi prend corps, où l’on se rassemble, où l’on espère ensemble. Eccleria croit à une Église en chantier — vivante, habitée, en mouvement.
Rester dans l’Église, même quand elle vacille
Beaucoup se posent la question : peut-on encore se dire catholique ? Rester dans une Église abîmée, marquée par des scandales ou des lenteurs ? Eccleria ne ferme pas les yeux sur les failles, mais choisit de rester. Pas par conformisme. Par fidélité. Et par espérance.
Car l’Église, ce n’est pas d’abord une structure : c’est un corps. Une communauté humaine et spirituelle, faite de visages, de fragilités, de recherche de Dieu. Une communauté qui a besoin de tous pour avancer.
S’en éloigner est parfois tentant. Mais y rester, c’est croire que l’Esprit travaille. Même quand tout semble à bout de souffle.
✨ « Construire l’Église, ce n’est pas tout cautionner. C’est y tenir. Et y travailler. »
Par engagement, pas par naïveté.
Un lieu de tensions… mais aussi de promesses
L’Église n’est pas un club de parfaits. Elle est traversée de tensions : entre générations, entre cultures, entre diverses visions de la foi. Ces tensions, si on ne les fuit pas, peuvent devenir fécondes. Elles obligent à écouter, à dialoguer, à inventer.
Chez Eccleria, on vit cette Église-là : imparfaite, mais vivante. Une Église qui cherche. Qui prend des risques. Qui ne s’installe pas dans la certitude, mais s’ouvre à la nouveauté de l’Évangile.
Construire cette Église, c’est une responsabilité. Pas seulement celle des prêtres ou des théologiens. Mais aussi celle des laïcs, des pros, des managers, des chercheurs de sens. Votre place y est. Vraiment.