Rejoin­dre les per­son­nes dans leurs inter­ro­ga­tions, les soutenir dans leur recherche grâce à une écoute active, aider les équipes dans la durée et les voir porter du fruit pour cha­cun de leurs mem­bres… Tels sont les pri­or­ités de Dominique, respon­s­able de la région Portes de France, et le sens de son engage­ment au MCC.


Par cul­ture famil­iale, Dominique a d’abord fait par­tie de l’ACI mais lorsqu’il a quit­té Mont­pel­li­er pour Vin­cennes en 2003, il a préféré rejoin­dre une équipe MCC avec son épouse Claudie, attiré par la dimen­sion pro­fes­sion­nelle du Mou­ve­ment. Peu à peu, le désir d’accompagner s’est fait jour et a mûri en lui. For­mé durant un an par le Père Chris­t­ian Mazars à l’écoute et à la spir­i­tu­al­ité igna­ci­enne puis par quelques mois de tutorat auprès d’un prêtre au sein d’une équipe de Créteil, il a accom­pa­g­né l’équipe Nogent 9 durant trois ans.

Dominique a répon­du à l’appel de Colette et Jean-François Raf­foux, accom­pa­g­na­teurs spir­ituels de la région « Portes de France » (Essonne, Val de Marne, Seine Saint Denis) et a accep­té la respon­s­abil­ité de cette région en jan­vi­er dernier. S’il regrette la lour­deur de la charge admin­is­tra­tive, il appré­cie le dia­logue avec les équipes et le groupe de tra­vail qu’il forme avec les Raf­foux : cela cor­re­spond bien à ses aspi­ra­tions.

Ses objec­tifs pour sa région ? Veiller sur les douze équipes exis­tantes et décel­er les poten­tiels de créa­tions, sans toute­fois «~faire du chiffre~», l’important étant la qual­ité des liens entre les mem­bres et la péren­nité des groupes ; aider les équipes à se con­naître et à mieux com­pren­dre le MCC en créant des occa­sions de ren­con­tre autour d’évènements mar­quants ; dynamiser et soutenir les respon­s­ables d’équipe grâce à des réu­nions spé­ci­fiques (une réu­nion est prévue très prochaine­ment).

Dominique vit à Vin­cennes avec son épouse et ses trois grands enfants. Après des études en sci­ences poli­tiques et une pre­mière expéri­ence dans l’édition, il tra­vaille depuis plus de vingt ans dans un organ­isme de recherche agronomique.

Eliz­a­beth Lefer