Depuis plus d’un an, nous vivons au travail… La crise du covid a modifié les rites du travail et bouleversé en profondeur l’organisation traditionnelle de l’entreprise et de ses collectifs, en accélérant les changements en cours favorisés par la digitalisation de l’économie : déploiement massif du télétravail en mode souvent dégradé, expérimentation généralisée du management à distance, dans le souci de la continuité de l’activité et l’attention aux vulnérabilités individuelles révélées par la crise.

Les manageurs, en particulier les cadres de proximité, ont été en première ligne de ces mutations, abandonnant la supervision directe, improvisant de nouvelles façons d’animer leurs équipes et d’être ensemble. Quels défis ont-ils surmontés ? Comment, à distance, accompagnent-ils les collaborateurs confrontés à un nouvel espace-temps de l’univers du travail ? Quelles dynamiques managériales émergent-elles ? Ce dossier explore des pistes pour y répondre et s’achève sur la traditionnelle vie d’équipe dont vous pourrez vous inspirer pour votre rencontre mensuelle. A ne pas manquer !

À côté de ce dossier, votre revue a rencontré Pierre-Yves Loaëc, un entrepreneur nantais qui a eu l’idée de transformer ses mètres carrés vacants en accueillant des personnes en précarité, la nuit, pendant les vacances… Un projet solidaire d’entreprise qui s’est concrétisé par la création de l’association « Les bureaux du cœur ». Dans ce numéro, vous découvrirez aussi tout ce qu’il faut savoir à propos de la rencontre de la famille ignatienne à Marseille de la Toussaint 2021, incontournable événement à l’occasion du 500e anniversaire de la conversion de saint Ignace. Le MCC et ses équipiers répondront présent !

Petit rappel habituel : pour bénéficier de la lecture de Responsables, la revue du Mouvement qui fait le lien entre ses équipiers, il faut vous abonner (30 € les 4 numéros/an). Toutes les informations sont en ligne. Soutenez la revue du mouvement !

Marie-Hélène Massuelle, responsable éditoriale

NB : Le numéro d’été, n° 452, sera livré aux abonnés à la mi-juillet